martes, 6 de diciembre de 2016

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Dans cette image, nous pouvons voir le Tiers États se proclament comme l'Assemblée Nationale et ne jamais de séparer jusqu'a avoir une Constitution dans la France, ils sont dans la salle du jeu de paume et aussi un lumière qui répresente la raison.







Dans cette peintre,  nous puvons voir Napoléon être devenu empereur pour son épouse Joséphine. Dans son côté se trouve ses frères avec ses épouses et sa soeur avec son marie et dans la centre de la peintre nous pouvons voir á sa mère.

Olympe de Gouges


Olympe de Gouge est l'autre nom de Marie Gouze, cette femme est née à Montauban le 7 mai 1748 mais est morte guillotinée à Paris le 3 novembre 1793. Elle a étudie lettres française, devenue comme politique. Marie est la femme qu'est consideré comme une personne plus important du féminisme français.

 Aussi elle a reécrit la Déclaration des droits du Homme et le Citoyen pour les femmes avec le nom de ce document qui sera, Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Ce document a les nombreux écrits des droits civils et politiques des femmes et de l'abolition de l'esclavage des Noirs.

Elle a fait tous les mouvents pour obtenir la libération des femmes pour ça nous la pouvons voir dans une époque dans la prision.


 Marie est la  fille de Pierre Gouze, un bourgeois et d’Anne Olympe Mouisset, fille d'un avocat d'une famille de marchands.

À l’âge de dix-sept ans, Marie Gouze est mariée avec un traiteur parisien de trente ans, Louis-Yves Aubry, officier et probablement un important client de la boucherie familiale des Gouze. Quelques mois plus tard, la jeune Marie aura un fils, Pierre. Son mari est morte en 1766.

La loi française interdisant à une femme auteur de publier un ouvrage sans le consentement de son époux, elle ne se remaria jamais, conservant ainsi sa liberté de publication .Madame Aubry portait couramment les prénoms de « Marie-Olympe » (signant plusieurs textes ainsi) ou plus simplement d’« Olympe », ajoutant une particule à son patronyme officiel « Gouze » que l’on trouve parfois écrit « Gouges », graphie adoptée par certains membres de sa famille dont sa sœur aînée Madame Reynard, née « Jeanne Gouges », épouse d’un médecin.