La catastrophe de la planète

Depuis de la révolution industrielle, il y a des conséquences  négatives pour la condition humaine, animale et environnementale. Les humains utilisent souvent l’industrie du vêtement. Est-il possible d’utiliser l’industrie textile de façon responsable? Je crois qu’on ne peut pas consommer des produits d’une manière réfléchie. 

Tout d’abord, la production des vêtements a besoin des grandes quantités d’eau et d’énergie qui vont polluer l’eau ou les sols. Le transport d’une paire de jeans fait 65.000 kilomètres, celui-ci augmente les émissions de gaz à effet de serre, c’est-à dire, le chauffement global selon Julie Roussel «Une paire de jeans dans l’environnement», Gaia Presse. Actuellement, les jeunes adultes achètent des nouveaux vêtements pour la mode. Est-il nécessaire d’acheter des nouveaux vêtements À mon avis, il n’est pas nécessaire parce qu’on a beaucoup dans notre placard. Donc, il faut réduire l’achat, réutiliser notre tenue vestimentaire et recycler ceux qu’on n’utilise pas. Paul Lanoie, professeur d’économie à HEC Montréal affirme : «Dans un monde où il y a de moins en moins de ressources naturelles, la réutilisation des ressources est très pertinente.» 

Ensuite, l’industrie provoque des destructions de forêts pour fabriquer de plus en plus. Mélissa Filion, directrice de Canopée pour le Québec affirme : «C’est assez récent que nos recherches démontrent que des forêts anciennes et menacées sont utilisées pour fabriquer des textiles». Chers lecteurs, on est en train de détruire la nature avec ses forêts, écosystèmes d’un milliard d’espèces. ««Probablement que la plupart de consommateurs n’ont aucune idée du coût dévastateur  des vêtements qu’ils achètent et de leur impact sur la survie d’espèces menacées et de forêts anciennes», a raconté Rochelle Webb, vice-présidente du Service marketing de Canopée. Est-il possible de faire des vêtements avec des déchets? Il y a beaucoup d’entreprises qui ont pris l’initiative de changer leurs matériaux. Selon moi, celle-ci est l’unique façon d’attirer plus de gens ou soigner l’image qu’essayer de sauver la planète où nous vivons. L’unique possible solution à laquelle je pense, c’est faire des textiles avec des résidus agricoles. Quelques preuves de produits avec des résidus sont les livres et les magazines. « Le lin ou d’autres types de plantes qui sont cultivées à grande échelle vont produire des résidus dont une grande partie va être tout simplement rejetée. Pourquoi ne pas utiliser pour la transformer en papier ou en textile?», a suggesté Madame Filion. 

Dans un autre aspect, savez-vous que les travailleurs n’ont pas de salaire minimum? Les profits du produit sont distribués en parties : un 12% pour la marque, 58% pour le magasin et malheureusement un 0,7% pour l’ouvrier. Dans le monde, il y a soixante millions de travailleurs qui fabriquent des textiles seulement pour 2$ canadiens par jour. Un salaire vital est un des droits dans la Déclaration universelle de droits de l’homme des Nations Unis. Il y avait une manifestation pour l’effondrement à Rana Plaza, en avril 2013. Les travailleurs veulent avoir plus de sécurité et une augmentation dans leurs salaires. Asia Floor Wage Alliance et Clean Clothes Campaign disent : «Tout salaire ou toute allocation versés en contrepartie d’un travail standard doit au minimum correspondre au salaire minimum.» 

En conclusion, on ne peut pas consommer de façon responsable  parce qu’il y a beaucoup de pollution, de destructions de forêts et d’injustes pour les travailleurs. L’unique raison de toutes conséquences, c’est le capitalisme. On abuse de la surconsommation et de la mondialisation du bien et des services. Il surviendra bien tôt la catastrophe de la planète  ou une crise économique qui va nous à craindre au complet.